vendredi 13 janvier 2012

Mon indolence naturelle est mise à rude épreuve


Il n'aura échappé à personne que ça sent un peu la panne, la sécheresse créative, la pénurie graphique. C'est que le dessin se fait en silence et sans contraintes...alors du coup, il s'en fait peu. Du dessin, je veux dire, car des contraintes, y'en a, et du silence, par contre, point. Une figure dans un carnet. Mais j'avais bu une bière, c'était tard, je n'avais rein de pressé à faire, et c'est bien rare.

2 commentaires:

Gilbert Pinna, le blog graphique a dit…

... et le dessin qui se fait en coin de page, sans prévenir, tout à la fois, volatil, ancré, arrimé au papier.

Anna Valenn a dit…

encore super ce dessin (...réflexion que je me suis faite en visitant hier l'expo Arnulf Rainer - Victor Hugo. ce dernier m'a soufflée, aussi par la modernité de certaines productions... tous les talents, et moi et moi et moi ? eh ben moi, j'admire et je soupire)