mardi 4 septembre 2012
On ne se lasse jamais de regarder ses congénères
Retour aux affaires, donc, parmi l'agitation habituelle. Le
lycée, c'est comme la piscine : quand on est au bord, ça paraît
insurmontable et froid, on regrette déjà de s'être mis en maillot, on
voudrait réenfiler son peignoir. Et puis quand on y est, on nage, et
tout va bien, on se demande même pourquoi on a hésité;
c'est la vertu de ce métier hautement relationnel : dès qu'on est avec
les autres, d'autant plus si on apprécie et estime ces autres, tout se
résout, on est lancé. Et puis rêveusement on regarde les dames dont la délicate architecture est pour chacune différente, et cela donne une idée de l'infini. Celle des hommes sûrement aussi, mais je regarde moins ; question d'habitude.
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3 commentaires:
j'aime bien la comparaison et surtout sa conclusion, c'est excatement ça! "tout se résout, on est lancé" et je crois que ça s'appelle l'amour du métier ;-)
j aime bien votre post
Les corps ont tous leur charme, pour peu que l'habitant en soit persuadé. Un corps parfait mal habité a moins de charme.
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